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Pairing the Logitech Performance MX (and others) to the Unifying Receiver in GNU/Linux

Back in 2009 Logitech introduced the Unifying Receiver, a great way to connect multiple wireless mice and keyboards to one single RF receiver on your PC.

The Unifying receiver is uniquely paired to your mice and keyboard. When you buy your devices, they are already paired to the accompanying receiver. They work out of the box on any GNU/Linux system.

However, if you loose the original receiver, and get another one for free from Logitech under warranty, or if you want to pair / unpair new or existing devices, you will need to pair them again. This used to be only possible using Windows. Not anymore. 🙂

Solaar is a GNU/Linux device manager for Logitech’s Unifying Receiver peripherals. It is able to pair/unpair devices to the receiver, and for most devices read battery status.

It comes in two flavors, command-line and GUI. Both are able to list the devices paired to a Unifying Receiver, show detailed info for each device, and also pair/unpair supported devices with the receiver.

I tested this in Debian 7 for which there are packages and a repository, and there is also a PPA available for Ubuntu, which also works in Trisquel 6. Here are some screenshots:

Solaar_022

Solaar_021

Solaar_020

 

Wow, it’s been quite some time I hadn’t seen such attention to detail in an application apparently destined to such a « simple » task.

Buttons mapping

Solaar doesn’t take care of the buttons mapping (yet?), but I thought I’d throw this extra here. Some time ago I went through the trouble of identifying all the buttons on my mouse and documenting (from Logitech’s accompanying manual) the various expected functions as present in Windows.

This is useful for applications where you can specify which button is assigned to an action. Enjoy!

Logitech-Performance-Mouse-MX-031

  • Button 1 – left click
  • Button 2 – wheel click / middle button
  • Button 3 – right click
  • Button 4 – wheel forward
  • Button 5 – wheel back
  • Button 6 – wheel left click
  • Button 7 – wheel right click
  • Button 8 – browser history: forward
  • Button 9 – browser history: back
  • Button 10 – application switch / Exposé on Mac
  • Button 13 – zoom
 

Exit la télé par câble, bienvenue à l’enregistreur numérique libre

Mon projet d’autonomie télévisuelle à la maison avance et a franchi une étape importante cette semaine: notre compte de câble (service Illico) de Vidéotron est officiellement fermé 🙂 Un enregistreur numérique conçu à partir de logiciels libres et de composantes informatiques ordinaires remplace maintenant la boîte noire fournie par cette entreprise québécoise. Ce projet s’est étalé sur environ 2 ans à temps perdu, parfois quelques minutes à la fois, parfois quelques heures de suite lors de nuits blanches ou autre moments de loisirs (j’ai une famile plus nombreuse que la moyenne des foyers au Québec) 🙂

Je tiens à préciser que le service technique et la qualité des services et appareils de Vidéotron sont exceptionnels, par contre le service à la clientèle pour ce qui est de la facturation lors  un week-end de fête du travail peut vous laisser avec une brique à la maison à la place de votre enregistreur numérique.

 

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Source: Wikipedia 

Ce projet personnel et son partage sont motivés par plusieurs facteurs:

  • Les pratiques douteuses de Radio-Canada, société d’état canadienne, pays où je paie des taxes qui la financent, et leur utilisation douteuse et discriminatoire de formats qui exigent des logiciels propriétaires sur leurs sites web, un sujet qui revient souvent sur la liste de discussion Ubuntu Québec;
  • Le lancement du site Tout.TV avec son manque flagrant de respect pour son audience utilisant Gnu/Linux: il faut encore simuler être un navigateur Apple pour avoir accès à des formats standards ou utiliser Flash, une aberration en 2012- des restrictions futiles étant donné la possibilité technique de les contourner (sauf pour la qualité de l’image);
  • Les restrictions par géolocalisation, d’espace, format (pas de HD sur les site web, même si on voudrait payer pour), heure (un exemple, une émission « osée » qui avait été limitée sur Internet), visionnement (« uniquement en ligne », pas de téléchargement direct possible/visionnement hors-ligne) et autres;
  • Le constat que mon enregistreur numérique était sous le contrôle de Vidéotron et devenait une brique si le service était interrompu, tout en bloquant l’accès aux émission enregistrées. J’ai d’ailleurs fait l’expérience du contrôle qu’exerce Vidéotron sur ces appareils lorsqu’ils ont effacé son contenu au complet à distance (à ma demande);
  • Le fait que passer à la technologie HD chez moi nécessiterait de racheter l’équipement (enregistreur numérique) et payer plus cher non seulement pour le service mais aussi pour les émissions/postes, ainsi que pour avoir accès au visionnement et programmation à distance;
  • Le manque d’exemples documentés publiquement auxquels on pourrait se référer facilement, sous forme de « recette », en utilisant un maximum de logiciels libres et formats libres pour remplacer ces pratiques et équipements désuets.
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Source: LibrePlanet QC

j’ai commencé à documenter ce que je trouvais pour contourner ou trouver une solution permanente à ces problèmes sur « Radio-Canada Libre« , une page wiki éditée sur LibrePlanet, site de communauté de la Free Software Foundation dont je suis membre. Je trouvais incohérent de faire la promotion d’autonomie et liberté technologique dans mon travail en même temps que j’avais cet appareil dans mon salon. Au fil du temps je me suis rendu compte que la solution de remplacement est possible pour peu qu’on se renseigne, et à la portée de tous, pour peu qu’on sache suivre une telle recette.

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Tux et Tou.TV

L’enregistreur numérique de Vidéotron est remplacé par TVHeadEnd (logiciel libre sous licence GPLv3) sur Gnu/Linux (dans une machine virtuelle), qui enregistre vers deux NAS (stockage réseau) DNS323 par NFS (protocole d’accès à distance aux fichiers sur le NAS), à partir de 2 syntoniseurs numériques réseau doubles HDHomeRun. Le NAS qui roule aussi Gnu/Linux (microgiciel Alt-F, logiciel libre sous licence GPLv2) partage ensuite par DLNA. La capacité de stockage des deux NAS est de 5 TB (combinée).

Des obstacles ou « irritants » importants demeurent, et on comprends pourquoi quelqu’un pourrait choisir de payer 100$ et plus par mois pour accéder au service par câble/satellite:

  • Pour avoir un bon signal il est indispensable d’avoir une bonne antenne. En poser une et la positionner correctement n’est pas toujours facile ou fiable ou simple ou abordable.
  • Malgré la présence d’une antenne, il faut être proche des zones où le signal des postes que vous voulez se rends, soit un grand centre urbain (Montréal) ou en banlieue pas trop loin. Un endroit idéal: la rive-sud de Montréal d’où on peut capter aussi des postes numériques américains. Même dans les zones de très bon signal les commis de magasins qui vendent des télévisions n’y connaissent pas grand chose ou vont rapidement proposer le service de câblo-distribution sans élaborer sur les alternatives. Pourtant, vendre l’équipement requis serait probablement plus payant!
  • Les 400+ postes parfois disponibles en combinant multitude de plans offerts par les cablo-distributeurs ne sont pas transmis gratuitement sur les ondes en HD. Si vous dépendez de postes comme RDS, Yoopa, History Channel, etc. ceci ne remplacera pas vos plans numériques
  • Le coût du matériel, qui, je suppose, est financé par les coûts d’abonnement aux services, monte vite. Ma configuration personnelle dépends d’un ordinateur (utilisé pour la famille aussi, oui), de capacité moyenne (Core i5 avec 8GB de RAM), un réseau local Gigabit, 2 NAS (~200$ ou plus chacun, neuf, moins seconde main), 4 disques durs (~150$ chacun), 2 syntoniseurs réseau doubles (~130$ chacun), une bonne antenne (prix variés), et j’en oublie certainement. En revanche cette équipement peut servir à beaucoup plus.
  • Pas de fonctions de télé intelligente (ie. comme le service Illico): TV à la demande, radio, etc. – à moins d’ajouter un système XBMC.
  • La programmation pour l’enregistrement se fait via une interface web, pas à partir du poste de télé directement (sauf si on utilise XBMC)
  • Pour écouter des émissions sur d’autres appareils ou à distance il faut transcoder dans le bon format
L'interface web de contrôle de TVHeadEnd
L’interface web de contrôle de TVHeadEnd

Quelques avantages très concrets de cette configuration libre « maison »

  • La programmation pour l’enregistrement se fait via une interface web, pas à partir du poste de télé directement (sauf si on utilise XBMC) 🙂
  • Les syntoniseurs réseaux ne sont pas « incrustés » à vie dans l’ordinateur qui en tire le signal de télé numérique, on peut donc les remplacer facilement en cas de bris
  • Les syntoniseurs réseaux sont disponibles à partir d’une machine virtuelle pour laquelle je peux allouer des ressources (mémoire, disque, etc.) selon les besoins, sans changer la configuration physique (câblage, connection, emplacement, antenne, etc.) de ceux-ci
  • On peut écouter des émissions d’une quantité illimitée d’appareils pour peu qu’on transcode au bon format
  • Pas de restrictions sur l’accès au fichiers: je peux le copier, partager sur mes appareils, couper (pour prendre un extrait de bulletin de nouvelles par exemple), archiver, graver, etc. sans limites pour fins personelles
  • Accès gratuit illimité au contenu en format HD (jusqu’à 1080p! 1920×1080) – j’ai souvent une réaction de surprise totale sur ce seul point. Comparé à ce qu’offre Tou.TV, c’est très intéressant.
  • Enregistrement et visionnement possible sur plus de 2 postes pour peu qu’on ajoute des antennes/synthoniseurs – quoique je crois que Bell est rendu à 4 en simultané
  • Possibilité d’organiser les émissions et trier le contenu pour parents, enfants, films, séries, etc.
  • Mobilité! Je peux maintenant quitter la maison avec quelques émissions pour enfants lors de longs voyages (pas pour la route, mais pour les soirées « patate »), sans payer un extra
  • Le serveur TVHeadEnd en place est compatible avec XBMC et si j’ajoute un ou plusieurs PC avec XBMC, ils pourront tous utiliser le même serveur TVHeadEnd sans changement à la configuration actuelle.
  • Autonomie et liberté: personne d’autre que moi contrôle et connaît les contenus ainsi obtenus
  • Logiciels libres: je peux participer au développement et aux rapports de failles et améliorer tous les logiciels qui rendent cette configuration possible, explorer le code source, poser des questions à la communauté et repartager toute cette information librement. Je peux aussi installer et reproduire toute cette configuration sans restrictions: pas de frais supplémentaires par prise/appareil/format, etc.!

Voici un exemple d’émission HDTV en format 720p (1280×720). Attention, c’est une émission complète qui prends presque 9GB!

Le Téléjournal Midi de Radio-Canada sur VLC
Le Téléjournal Midi de Radio-Canada sur VLC

Quelques détails de fonctionnement:

  • Le signal transmis au Québec par la plupart des chaînes que je peux capter inclût la piste vidéo (MPEG2-TS), deux pistes audio (AC3 et Dolby je crois), ainsi que jusqu’à 4 pistes de sous-titrage (« closed-captioning »). L’enregistrement via TVHeadEnd se fait directement dans un conteneur .ts bien supporté par VLC, mplayer, etc.
  • Il est indispensable d’avoir une source du « télé-horaire » (l’horaire complet des chaîne de TV) pour pouvoir utiliser un enregistreur. Le seul que j’ai trouvé au Canada est payant, dans certains pays certains signaux numériques incluent cette information. Le prix est très raisonnable et on peut l’utiliser sans restrictions (source de données XML). J’ai aussi aimé la mission de SchedulesDirect qui fnance d’autres projets libres, entre autres Cable in the Classroom.
  • Je contrôle TV HeadEnd et l’appareil NAS par une interface web chez moi ou à distance, sur un PC ou sur #Android avec TVHGuide (logiciel libre sous  licence GPLv3).
  • On visionne sur mobile (après transcodage par HandBrake) ou sur la TV Sony qui a lit directement les partages #DLNA. Je calcule que d’ici moins d’un an des tablettes et téléphones seront capables de jouer le format original en 1080p, si ce n’est pas déjà le cas.
  • Cette configuration a été testée sur Ubuntu
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L’application TVHeadEnd sur Android

Pour un remplacement à 100% de l’enregistreur numérique que nous avions dans le salon (pause en temps réel, enregistrement en voyant une émission, CC, etc.) il faudrait ajouter un PC dédié avec #XBMC. Plus tard, peut-être… 🙂

Si le sujet vous intéresse, contactez-moi ou mieux encore, joignez-vous au groupe Libre Planet QC en vous inscrivant à la liste de discussion.

Quelle est la suite de tout ça? Pour l’instant il est difficile d’accéder à nos contenus à distance efficacement, la vitesse des réseaux n’est pas tout à fait là. Les réseaux autonomes se développent de plus en plus suite aux mouvements globaux de protestation contre le contrôle et les abus des gouvernements, et d’autres mouvements et initiatives d’activisme pour promouvoir les media alternatifs, l’autonomie des données et l’informatique libre. En tant que citoyen je considère mon devoir de demeurer critique face à ce que proposent les entreprises et aussi tenter d’utiliser des alternatives utilisant les logiciels libres. Parfois il suffit de poser la question, parfois il faut démontrer par l’absurde (vu l’effort requis) que les alternatives techniques sont possibles. Encore faut-il qu’elles soient compatibles avec les modèles d’affaires existants, les intérêts des actionnaires ou le train de vie que nous menons. Pouvons-nous changer ces aspects de notre société par l’activisme technologique?

Pour l’instant, je me concentre sur rêgler ces problèmes pour moi, tout en essayant de partager les résultats. Le grandes questions de société démarrent parfois par des petit efforts individuels, et je crois qu’il est encore possible de provoquer des changements importants par de petits gestes quotidiens. En attendant, je vais placer une petite annonce pour vendre l’ancien enregistreur numérique de Vidéotron 🙂

Quelques liens pour aller plus loin:

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Is it worth it to upgrade my netbook/laptop hard disk to SSD?

A few years back I started using solid state drives (SSD) whenever I got a new netbook/laptop or when someone asked for hardware upgrade suggestions. The speed increase and shorter boot times on any given system is phenomenal and current GNU/Linux distributions take care of the configuration details. I don’t even take into consideration finer details like bus speed, hybrid disks or other technical features.

I’ll say this just once again, even though the price is high, the speed increase is ridiculous. If your job is in IT or requires using a dedicated computer full-time (some accounting positions or other engineering, graphic design, development, etc.), you may be able to justify the time gain (ie. booting/rebooting/starting apps/loading data) and calculate a short ROI justifying the expense. That’s not my line of expertise but I think I get the point accross.

Having picnic while waiting for the email indexing to finish
From the archives: having picnic while waiting for the email indexing to finish. License: CC-BY, source: Moon Stars and Paper

Back from one week at the hospital after two small but painful operations, I have one month leave to get back on my feet. I also just finished my employment and needed to upgrade my older personal laptop, so I decided to also evaluate how to make my housewife’s netbook a bit faster for occasional use at home – I can’t move much or sit down for extended periods at the home computer / with a big laptop.

Although I know the speed increase will justify the upgrade, I still want to confirm how slow the current disk is, and of course what type of disk it is – if the system is using the older PATA interface, I am not even sure if you can find such SSDs. Confirming the system has a SATA interface will make it easier to shop around and prevent ending up with a hard disk I can’t connect.

Most consumer laptop/netbook systems come with the cheapest hard disk at the time of manufacture, which often means 4200 RPM. The hard disk exact model number can be found easily via command line or graphically, without opening your system.

The following information can also be used after booting from a live CD, if you’re evaluating such a hardware upgrade for a system that doesn’t have a GNU/Linux OS installed. That’s right, no need to find (or buy) and install any vendor-specific disk utilities for the simple checks I am sharing how to do here. Just an Ubuntu live CD.

Using the command line from a terminal you can get such information as follows (assuming your system only has one hard disk, extra information redacted):

magicfab@hermes:~$ sudo hdparm -I /dev/sda

/dev/sda:

ATA device, with non-removable media
Model Number: Hitachi HTS545016B9A300
Serial Number: 090726PB5B03QCH542MH
Firmware Revision: PBBOC66G
Transport: Serial, ATA8-AST, SATA 1.0a, SATA II Extensions, SATA Rev 2.5, SATA Rev 2.6; Revision: ATA8-AST T13 Project D1697 Revision 0b
[…]

Configuration:
[…] Form Factor: 2.5 inch
Nominal Media Rotation Rate: 5400

Using the graphical environement there is the Disk Utility application that will give you the same information. It’s under System > Administration unless you’re using the Unity interface in Ubuntu.

The above results indicate it’s a 2.5 inch 5400 RPM SATA drive, a perfect candidate for an SSD upgrade. On higher-end laptops you may have a 7200 RPM hard disk which may be fast enough if you optimize your system otherwise (and having cheap, matching SSD-per-GB to 7200 RPM drives is not happening anytime soon).

I also use this method to check the firmware version of newly installed SSD drives, which sometimes needs updating depending on its manufacture time and purchase time – if I am buying a drive that has been on the market for some time, there are high chances its initial firmware as shipped at the factory has a new version available for updating.

If you’re somewhat of an SSD geek like me, take a look at my SSD checklist, it has a few tricks to optimize SSD configuration and some of those tricks can also increase performance on non-SSD systems.

Once you have installed and used your first SSD hard disk, please don’t hurt yourself too much for not having done so before 😉 I still think it’s the best ratio of dollar/performance gain of any hardware upgrade you can simply accomplish on most laptop/netbook systems.

Oh, and don’t forget to sell your older, slower hard disk – or re-purpose it for external storage and backups using an external case!

 

Pellete-in au pont Jacques-Cartier: Les cyclistes réclament l’accès à la piste cyclable 12 mois sur 12.

Communiqué du Collectif Vélo 365

Longueuil, le 23 janvier 2011 –  Le CollectifVélo365 vous invite à participer à un Pellete-in afin de déneiger l’accès à  la piste cyclable du pont Jacques Cartier.
Quand :     le samedi 29 janvier à 10h.
Où :         Au pied du pont, à l’intersection Lafayette et Saint-Laurent (Longueuil).

Apportez votre pelle et votre pic car nous dégagerons l’accès à la piste cyclable!

Il s’agit d’une réédition du Pellete-in organisé à la même époque, l’année dernière.

Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis. En effet, les personnes qui participeront à l’évènement pourront constater de visu que le tronçon de la piste cyclable donnant accès au pont Jacques Cartier a été complètement reconfiguré. Ainsi, le printemps prochain, les cyclistes et les piétons vont découvrir une piste cyclable élargie et sécuritaire. De plus, la pente pour accéder au pont a été adoucie. Dorénavant, Monsieur et madame « Tout le monde » pourront circuler en toute sécurité sur cette piste. Que ce soit pour aller travailler ou pour aller s’amuser au parc des îles Jean Drapeau, dans le Vieux-Port ou au canal Lachine. Bien sûr, les gens de la métropole pourront faire le trajet en sens inverse et venir découvrir les beaux coins de la Montérégie : le parc des îles de Boucherville, le parc Marie Victorin…

Maintenant que la piste est sécuritaire, le CollectifVélo365 se permet d’insister pour que la SPJCC ainsi que la ville de Longueuil en permettent l’accès 12 mois sur 12. En effet, depuis la première tempête de l’hiver, le 6 décembre dernier,  une chenillette n’aurait eu qu’à passer trois fois pour en garantir l’accès. Pas besoin de fondant, ni de sable ou d’équipements sophistiqués. Juste un peu d’ouverture d’esprit et de jugement de la part des autorités permettraient d’encourager l’utilisation du moyen de transport le plus efficace, le plus économique, le plus écologique et le meilleur pour la santé en milieu urbain; le vélo.

Le CollectifVélo365 espère que la SPJCC ainsi que la ville de Longueuil trouveront le moyen de convenir d’un protocole permettant d’encadrer l’accès à cette piste cyclable 12 mois sur 12.

-30-

Sources:          Renald Desharnais (450) 646 2869, renalddesharnais@hotmail.com
Porte-parole :     Francis Casaubon (450) 748-4658, collectifvelo365@gmail.com
Le CollectifVélo365 est un regroupement de personnalités et d’organismes unis dans le but de promouvoir la pratique du vélo en toute saison.

Les membres du Collectif Vélo365 sont:

  • Renald Desharnais, Instigateur de la pétition pour le parachèvement de la piste cyclable du pont Jacques Cartier qui a recueilli 4 000 signatures à l’automne 2008.
  • Jean Dorion¸député de Longueuil-Pierre Boucher
  • Bernard Drainville, député de Marie-Victorin
  • Marc André Gadoury, conseiller municipal de l’arrondissement Rosemont-Petite-Patrie (Projet-Montréal)
  • Coopérative de plein-air Mountain Equipment Co-op  (Montréal et Longueuil)
  • Vélo quatre saisons
  • Équiterre
  • Environnement JEUnesse, stimule le développement d’une conscience environnementale et d’une pensée critique auprès des jeunes afin qu’ils exercent des actions citoyennes pour un avenir viable.
  • Centre d’économie urbaine de Montréal
  • Association générale des étudiants du CEGEP Édouard-Montpetit
  • Association générale des étudiants du CEGEP Rosemont
  • Fédération étudiante collégial du Québec
  • Association étudiante du campus de Longueuil de l’Université de Sherbrooke
  • La coalition pour la réduction et l’apaisement de la circulation
  • Déménagement Myette
  • Le Centre d’Information sur l’Environnement de Longueuil (CIEL) est un organisme à but non lucratif visant la protection et l’amélioration de l’environnement à Longueuil.
 

The Document Foundation launches LibreOffice 3.3

This just in:

The Internet, January 25, 2011 – The Document Foundation launches LibreOffice 3.3, the first stable release of the free office suite developed by the community. In less than four months, the number of developers hacking LibreOffice has grown from less than twenty in late September 2010, to well over one hundred today. This has allowed us to release ahead of the aggressive schedule set by the project.Not only does it ship a number of new and original features, LibreOffice 3.3 is also a significant achievement for a number of reasons:

  1. the developer community has been able to build their own and independent process, and get up and running in a very short time (with respect to the size of the code base and the project’s strong ambitions);
  2. thanks to the high number of new contributors having been attracted into the project, the source code is quickly undergoing a major clean-up to provide a better foundation for future development of LibreOffice;
  3. the Windows installer, which is going to impact the largest and most diverse user base, has been integrated into a single build containing all language versions, thus reducing the size for download sites from 75 to 11GB, making it easier for us to deploy new versions more rapidly and lowering the carbon footprint of the entire infrastructure.

The full announcement is available here.

There are important release notes regarding this version of LibreOffice.

A complete list of new features and fixes included in LibreOffice (with screenshots) is also available.

LibreOffice logo

Getting involved in LibreOffice

Most importantly, the LibreOffice project needs all the help it can get. If you want to join a vibrant, active community around a very visible and dynamic project, there are plenty of ways to do so.

If you or someone you know has some time and resources to dedicate to this important part of Ubuntu and of every libre desktop, come by sometime to the #libreoffice IRC channel and we’ll take care of you 🙂

Getting help for LibreOffice

I joined the LibreOffice project a few weeks ago and I must say this is a very exciting day ! I am mostly involved in marketing and documentation, but I’m also proposing the following two resources to become official support and self-help channels:

The LibreOffice project has a dedicated page listing all available online help resources.

I believe having additional self-help and support communities that complement the exiting OpenOffice.org existing ones is important, as the LibreOffice code-base will inevitably diverge more and more, and as we have more version-specific issues and bugs that can’t be treated equally. Furthermore, having language-specific communities and tools that can be used in your own language is also an important way to advocate LibreOffice in any part of the world – without depending on English-only tools.

Installing LibreOffice in Ubuntu

If you haven’t tried LibreOffice in Ubuntu yet, this would be a good time 🙂

If you are using Ubuntu do not download the .deb files for manual installation, there is a PPA repository that has been available for a few weeks now. Follow these instructions to install LibreOffice from the PPA so you get automatic updates. If you are running Ubuntu 11.04 LIbreOffice is already part of the standard packages, just search for libreoffice in your favorite package manager. Keep in mind the PPA shows version 3.3 rc4 as of this writing (which is bit-for-bit identical to the released 3.3), however a 3.3-numbered release should be available shortly.

The following is needed and works for Ubuntu 10.04 LTS and Ubuntu 10.10. Keep in mind a PPA is always considered a third-party application and unfit for production purposes (as far as official commercial support goes), however LibreOffice is becoming part of Ubuntu officially in the next release, due in April 2011, so the PPA will get a lot of attention and care. Make sure you test this and perhaps wait a few weeks if you intend to use this in 10.04 LTS or 10.10 in any significant way.

Here are the steps, then to install LibreOffice in Ubuntu 10.04 LTS or Ubuntu 10.10:
Start a terminal window and issue these commands (you’ll be asked for your password):

sudo add-apt-repository ppa:libreoffice/ppa
sudo apt-get update && sudo apt-get install libreoffice

To complete the integration to Ubuntu (Gnome) or Kubuntu (KDE), you will also need to either

sudo apt-get install libreoffice-gnome

or

sudo apt-get install libreoffice-kde

… accordingly.

Filing a bug for LIbreOffice in Ubuntu is easy, I have documented the process here.

Additional language modules, help files and extensions are also available if you search for libreoffice in your package manager.