Avec le Google Summer of code, le géant du web est bien malin : financer les projets open source de développeurs et développeuses lui permet à la fois de choisir les codes qui vont dans son intérêt, mais aussi de séduire des talents, de les formater à sa culture d’entreprise tout en redorant son blason !
En outre, le monde des libertés numériques devient de plus en plus dépendant des contributions financées par Google et autres géants du Web pour perdurer, et c’est inquiétant.
Ce document est une bonne (et longue) lecture dominicale. Le 5 octobre, date de la Journée mondiale des enseignants, souligne l’adoption de cette recommandation en 1966 et en 1997 pour l’enseignement supérieur.
Demain toute la journée je serais à Ottawa à l’Université St-Paul dans le cadre de la journée d’étude « Cybersécurité et médias sociaux ». Je vais montrer comment Blockchain, auto-hébergement et logiciels libres deviennent des éléments indispensables de la citoyenneté numérique.